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Le Japon veut s’ouvrir à l’immigration  !


Rédigé le Vendredi 17 Mai 2024 à 09:31 | Lu 4 commentaire(s)



Le Japon veut s’ouvrir à l’immigration  !

in War Raok ! - n° 54 - Mars 2019

 

 « Le métissage est l’avenir de tous les pays, aucun ne doit s’y soustraire »
(Général américain Clark, chef de l’Otan dans les années 1970). 

 

Le Japon, tout d’ailleurs comme les deux Corées, est connu pour la grande homogénéité de sa population. Avec une grande sagesse, il avait su jusqu’à présent se préserver de ce fléau aux multiples visages qu’est l’immigration. Cette homogénéité physique l’a aussi préservé de voir sa culture, ses traditions, ses paysages, ses villes et villages défigurés, souillés par des mœurs d’importations. De même, les Japonais se sont trouvés à l’abri d’une délinquance criminogène générée par cette immigration qui fait des pays européens de véritables coupe-gorges où l’on risque sa peau… 

Cet heureux temps sera-t-il bientôt terminé ? Les Japonais peuvent le craindre, si l’on en croit des « ballons sondes » qui sont régulièrement lancés pour « tâter » le terrain, l’opinion, autant japonaise qu’internationale. Certains de ses dirigeants, vendus aux grands prêtres du cosmopolitisme d’affaires, se portent candidats au suicide de leur pays. Eh, quoi ! Voilà donc un pays qui ne connaît pas encore les richesses prodiguées par l’immigration et qui ont pour noms : métissage physique, culturel, ouverture aux autres (mais fermeture sur soi), bien-vivre ensemble, tolérance… et islamisation. Les Japonais ne savent pas encore ce que sont les « chances exotiques» pour les Européens, devenues leurs « malchances » cauchemardesques. Les fils du Soleil Levant vont bientôt l’apprendre à leurs dépens, aux dépens surtout de leurs filles, de leurs femmes, la preuve par « La Saint Sylvestre de Cologne », entre autres…

Ainsi, dans la revue Challenges de novembre 2018, on pouvait lire : « Japon, la fin de l’immigration zéro. Est-ce la fin de l’île absolue ? ». « Rompant avec le tabou de l’immigration - sujet occulté dans le débat public nippon depuis des décennies – le Premier ministre Shinzo Abe veut réformer le système des visas. Traditionnellement jaloux de son identité, le Japon est confronté à un vieillissement démographique spectaculaire : sa population pourrait tomber à 89 millions en 2065 contre 126 millions aujourd’hui. L’objectif d’Abe : accorder des visas de travail, avec autorisation de résidence permanente et de regroupement familial dans les secteurs en pénurie de main-d’œuvre ou de travail qualifié. Afin d’éviter les erreurs de l’Europe et des Etats-Unis, les candidats à la résidence permanente devront satisfaire à un examen difficile prouvant leur maîtrise du japonais. Principaux pays concernés : le Vietnam et le Népal ». Ce projet provoque des remous dans les partis politiques, et sera en 2019 soumis au Parlement. Pour rassurer la droite nationaliste, Abe parle de répondre à des « besoins temporaires ». Seul le parti démocratique du centre, dans l’opposition, accepte le principe d’une « politique d’immigration à la manière européenne ou américaine ».

Ouest-France (29/11/2018), toujours fidèle à sa vocation de donneur de leçons d’humanisme tous azimuts, et  alléché par toujours plus d’immigration, n’a pas manqué d’y aller de sa voix :  « Le Japon en mal de travailleurs étrangers. Pour faire face à son vertigineux manque de main d’œuvre, le pays veut favoriser l’arrivée de 340.000 migrants dans les cinq ans ». Et de reprendre l’Antienne de Challenges. 

Non ! Ce n’est pas le pays, c’est-à-dire les Japonais, sauf une fraction de traîtres gauchistes, qui veut favoriser la venue de migrants, mais les oligarchies, les lobbies apatrides qui entendent appliquer au Japon le même traitement qui a été, et est toujours, appliqué aux pays européens, aux Etats-Unis. Pour ce faire, les mêmes poncifs, la même doxa, les mêmes mensonges, les mêmes recettes sont repris : chute démographique, vieillissement, manque de main-d’œuvre, immigration choisie, temporaire, de travail, enrichissement mutuel, et en cherchant bien dans l’Histoire japonaise … culpabilisation d’avoir été … trop Japonais. 

Nous savons ce qu’un demi-siècle d’immigration a donné en Europe : son suicide programmé pour ses peuples, pour sa civilisation au seul bénéfice des migrants. Malgré les propos « rassurants » des  immigrationnistes nippons au service des multinationales, les Japonais n’échapperont pas progressivement à la perte, sous toutes ses formes, de leur identité, et cela sera bien plus rapide qu’ils ne peuvent l’imaginer. En Europe, cinquante ans ont suffi pour la bouleverser dans tous ses fondements civilisationnels, de manière qui s’annonce probablement irréversible, et ce n’est pas terminé. Comme en Europe, où sans craindre le ridicule, on peut dire d’un subsaharien très typé et vivant en Allemagne, en Suède, que c’est un Allemand, un Suédois, on pourra dire, fut-il en kimono, tiens, voilà un Japonais ! Car lorsque les vannes de l’immigration seront ouvertes, elles ne se limiteront pas à une immigration sélective de peuples  proches  physiquement  des Japonais, comme ce fut le cas en Europe autrefois avec les Italiens, Espagnols, Polonais, remplacés à partir des années 70, par des peuples extra-européens. Aux Vietnamiens et aux Népalais de la première vague, viendront s’ajouter bien d’autres peuples d’Asie, d’Océanie et d’Afrique, du Moyen-Orient, attirés par l’ « Eldorado » nippon. Ce sera alors l’immigration de peuplement.


Amis Japonais, venez voir ce qu’ils ont fait de notre Bretagne !

Il est vrai qu’en Bretagne, décrétée par tous les collabos de l’immigration-invasion « Terre d’accueil », on peut dire sans rire, en voyant un immigré typé « bois d’ébène », que c’est un Breton. On peut même, le plus sérieusement du monde à l’occasion de fêtes, festivals, pardons, l’affubler d’un costume breton et voir ainsi en lui un modèle d’intégration et un digne héritier de nos traditions, ce qui laisse en général très perplexes les touristes qui avaient une autre image du Breton. Après tout, si avec un grand sourire « dents blanches », la « chance bretonne » dit kenavo et va se tortiller à un fest noz, ne devrions-nous pas, sauf à être d’affreux racistes, voir en lui la Celtie de demain ? Amis Japonais ! Sachez ceci : il y a vingt ans, la Bretagne était encore un sanctuaire préservé de l’immigration tueuse des peuples qui s’y sont abandonnés. Pointe de l’Occident, elle était comme votre pays notre « Île absolue ». Aujourd’hui la Bretagne est polluée  jusque dans ses plus petits villages par cette invasion allogène porteuse de mœurs, de croyances contraires à l’âme bretonne. Chaque jour, les mondialistes et leurs collabos creusent sa tombe. Dans le paysage breton, la mosquée commence à voisiner avec l’église en dentelles de granit. A nos costumes bretons de jadis, ont succédé les tenues fantomatiques belphégoriennes. Le kimono, même s’il n’est plus autant porté que jadis, devra-t-il s’effacer devant les garde-robes mahométanes ?  

Alors, sur ce registre, pourquoi pas des « Japonais », des « Japonaises » d’un jaune ayant trop abusé de la générosité des rayons du soleil, déambulant dans le costume national japonais.  Ah ! Si le ridicule, la bêtise pouvaient tuer, nous nous épargnerions de voir ainsi souiller dans des mascarades exotiques ce qui est une partie de notre identité ! Il s’agit à terme, comme pour les Européens, de convaincre les Japonais que l’avenir de leur pays passe par l’immigration, et non pas par une politique de la famille assurant l’identité même du Japon : vous ne faites plus d’enfants ! Qu’à cela ne tienne, ne vous inquiétez pas, nous mondialistes nous avons la solution au problème par la progéniture immigrée, vos  Japonais du futur. Voyez comment l’Allemagne, craignant de se faire passer pour nostalgique du Reich, qui avait une politique de la famille audacieuse, a renoncé à faire des enfants,  n’assurant plus son avenir démographique : la stérile Merkel applique à son peuple la terrible formule de son compatriote communiste, Berthold Brecht : « Puisque le peuple vote mal, changeons de peuple », alors dans sa folie, elle fait venir des millions de migrants, ses Allemands de remplacement. Car tenir à son identité, c’est comme mal voter, puisque cet attachement à la Patrie est contraire aux desseins des apatrides immigrationnistes. Ne laissez pas une Merkel de chez vous ouvrir les portes de l’invasion. Le Japon doit rester le Japon, comme il faudra bien, d’une manière ou d’une autre, que les nations d’Europe redeviennent elles-mêmes, retrouvent dans toutes leurs composantes leur identité propre.

L’immigration détruit l’Europe, elle ne pourra à terme que détruire le Japon. Ceci étant, espérons que les Japonais qui ont, contrairement aux Européens, encore le sens de leur identité, de leurs traditions, de leur honneur, et une lucidité qui nous fait désormais défaut, tirant les leçons suicidaires de l’Europe, sauront résister à cette immigration prônée par les oligarchies cannibales des nations.

 

Erwan Houardon




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